Parce que c’était un franc tireur -gouache au couteau lundi 11 janvier 2010-
Aucune loi ne portera son nom. Vous l'avez reconnu ? Philippe Seguin. J’ai peint ce portrait, au couteau, au moment même de ses obsèques aux Invalides le lundi 11 janvier 2010. C’est ma façon de lui rendre hommage. L’homme me plaisait et puis, il me fait...